Les hashtags sont des conventions. Les organisateurs d’un évènement, parfois, donnent parfois une indication, pour rassembler les conversations, mais le hashtag reste une convention. On peut en inventer un autre, le parodier, utiliser plusieurs hashtags ou en utiliser plusieurs.
Il y a plusieurs hashtags mais on peut noter des constantes. A suivre, après, les hashtags qu’on préfère ou follower ou mettre dans des listes les twittos qui parlent d’un sujet donné. Avec Tweetdeck, dans une timeline, on peut trier les hashtags, par exemple.
Tout ça pour dire quoi ? S’il n’y a pas de hashtag évident, c’est qu’il faut le créer. Vous pouvez aussi demander ou regarder ce que les autres utilisent, pour vous rallier à l’un ou l’autre. Généralement, lorsqu’il y a plusieurs hashtags, les tweets finissent par les comporter.
A part ces considérations, le XV de France l’a emporté contre les Irlandais 19 à 15 et, au foot, l’ASSE contre Nancy 1-0, m’a dit ma timeline. Twitter est le bon lieu pour vivre des évènements en live ;-)
Le hashtag suit le concept de la folksonomie… un langage naturel émanant des internautes dans ses stratégies personnelles, d’où le côté incontrôlable. Dans le cas d’une veille, cela démontre l’importance de prendre en compte plusieurs mot-clés à l’orthographe et à la grammaire différente, en + des synonymes of course.
Merci pour ce nouveau mot :) « folksonomie », j’aime bien :)
Le contraire de la taxonomie :D