Il n’y a pas un jour sans une nouvelle application. Avec l’arrivée du Windows Phone, sous l’HTC Mozart, visuellement très réussi au demeurant (j’ai testé, et Excel est absolument bluffant !), la question va devenir de plus en plus cruciale. Pour le moment, le Windows Market est peu achalandé mais on peut raisonnablement supposer qu’il va s’emplir au cours des prochains mois…
On va donc avoir des applications mobiles, utiles, qui seront seulement disponibles pour l’un des 4 OS, iPhone, Androïd, Black Berry ou Windows. Une application qui est développée pour l’un des OS, ne l’est pas pour un autre, question de temps, de budget.
L’utilisateur, lui, n’a, dans la plupart des cas, qu’un seul smartphone. Et il se retrouve entouré de personnes qui n’ont pas le même. L’expérience de la mobilité est ainsi fragmentée et non transposable.
Il existerait pourtant une solution : que les applications soient sur le web. D’accord, le rendu graphique ne serait pas le même et peut-être que ce n’est pas valable pour toutes les applications, mais dans tout ce qu’il y a actuellement de disponibles, combien pourraient être des webapps ?
Bonne remarque Philippe !
Je dirais que 80% des applis pourraient être des webapps. Par contre, il faut que certains rattrapent leur retard avec le navigateur intégré (hein Microsoft qui nous met un IE7 dans son dernier OS mobile…).