Voiture : réparée :-)

Je n’utilise pas beaucoup la voiture.

Pour les déplacements, je préfère nettement la marche à pied, même pour quelques kilomètres.  En ville, comme à Vienne, par exemple, se pose de toute façon la question du parking.

Pour communiquer, même rencontrer, le Net est là : Skype, mails, Twitter, blogs, Facebook, Second Life, Phreadz, Viadeo, forums, what ever you want…

Ceci dit, même si j’aime bien Vienne et que j’y vis actuellement, il est parfois nécessaire ou intéressant de visiter d’autres lieux, de rencontrer des personnes offlines (et en dehors de Vienne ;-)). La voiture est alors quasiment indispensable. Pour une raison toute simple : aucun train de voyageurs ne part de Lyon pour Vienne après 21h25. Franchement, est-ce que c’est sérieux si on veut développer les transports collectifs ? Imagine-t-on que toute vie sociale est inexistante après 21h25 ?

Il existe, alternativement à la voiture, divers solutions :

• se faire héberger ;
• aller à l’hôtel ;
• louer – le service de partage autolib pourrait être une solution mais il faut habiter Lyon pour l’utiliser. Et, finalement, l’abonnement ou la location ne sont pas données.

Bref, ma voiture était immobilisée depuis quelques temps. C’est une AX, une digne descendante de ma première voiture, une 2CV. Pas d’électronique à l’intérieur. Les réparations sont donc plus faciles que pour des voitures hi-techs. Pas d’auto-combustion possible aussi. Je ne suis pas très geek en ce domaine. Paradoxal ?

Ce matin, mon Papa s’est transformé en Dr House pour voiture. Quelques outils, des cales, démontage, changement d’une pièce cassée (la même que celle changée début 2009, ça me ferait *presque* regretter d’aller au Wallace ;-)), remontage, et même utilisation d’une seringue géante pour injecter de l’huile (si, ça existe !). J’ai la chance d’avoir un Papa bricoleur, ancien garagiste et prof de mécanique (et c’est la preuve que les compétences ne sont pas génétiques :p) :-)

Bref, l’AX réparée, le printemps là, ce sont de nouvelles possibilités qui s’ouvrent à moi… mais, pour ce qui concerne l’entreprise, ce sera aussi un moyen de plus m’investir dans le numérique : je dois aimer les paradoxes, finalement ;-)