Il est plus facile d’être régulier si tu écris à l’avance. Mais, forcément, ça ne peut pas être du contenu « chaud ». Mais est-ce grave ? A l’heure actuelle, j’ai 66 brouillons. Pour certains, j’ai passé plusieurs jours à les écrire. Avec des recherches importantes… et puis il reste toujours les derniers 20%. Les plus durs. Fichue loi de Pareto. Si j’en terminais quelques uns, clairement, je ne serais plus dans l’actualité ;-)
Pour programmer un texte, une photo ou une vidéo, il faut juste prévoir que le média préparé à l’avance soit valide quelles que soient les circonstances. Mais, comme disait Pierre Dac, «la prévision est difficile surtout lorsqu’elle concerne l’avenir.» C’est sans doute pour cela que je trouvais géniale l’idée de psychohistoire, dans le cycle Fondation d’Asimov.
Mais ce que je peux poster est bien loin de cela. Je ne prévois pas de poster de manière posthume. Mais il y a toujours possibilité que je meure avant que le texte programmé soit publié. C’est, je dois l’avouer, ce qui me perturbe le plus dans les programmations, ce qui vaut aussi pour les tweets. Je n’ai pas envie de traumatiser des proches avec un message d’outre-tombe. Heureusement, je me dis que ceux qui pourraient être les plus affectés ne liront jamais ces lignes… et ceux qui les lisent, comprenant le système, en rigoleront.