… où l’environnement change, où on est obligé de s’adapter, de regarder, de voir, de se poser des questions sur ses valeurs, de s’interroger, de se rendre compte des erreurs qu’on a pu faire, de se retrouver, de se recentrer, de rechercher l’amitié de proches, de remettre un pied dans le bon chemin, de se remettre à marcher, de reprendre son bâton, d’être soi, d’être en colère, de reprendre des choses trop longtemps reportées, mais aussi de voir les choses qu’on peut faire de bien, qu’on doit accentuer, prolonger.
… où on retrouve ses 17 ans, 27 ans, des réflexes et des luttes qu’on a déjà pu avoir, des graines qu’on a voulu planter ici et là, pour faire changer les choses, petit à petit, parce que c’est important, que cela dépasse son propre cas individuel.
… où l’écriture devient urgence mais aussi saccadée, parce que le temps est à l’action.
Il y a des jours comme ça.